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Les Gros Nazes

12 décembre 2012

PERE KASTOR

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Salut je suis Pere Kastor.

Dans la vie je suis quelqu'un de posé. J'aime les jeux de gestion, les jeux de tactique, les puzzles games plutot que l'action pure et dure. J'aime ce genre de jeux où il faut lire 4 forums allemands et avoir un tableur excel pour s'en sortir. De ce fait je suis plutôt un joueur pc dans l'âme. Je porte également une très grande importance au scénario et à l'histoire dans un jeu.

Néanmoins dans l'obscurité je me transforme. Je ne suis plus ce gentil animal qui s'amuse à bloquer une rivière pour le fun. En vrai je suis un élitiste. Un élitiste qui vous dira que les éditeurs c'est tous des pourris et qu'ils ne font que pondre des jeux pop-corn sans gout. Un élitiste qui vous dira qu'un FPS se joue à la souris clavier et pas avec une pauvre gachette merdique contre-nature. Un élitiste qui vous dira que les jeux c'etait mieux avant.

Bon ok j'avoue... on peut appeler çà aussi un bon gros troll.

 

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11 décembre 2012

NAZOUILLETTE

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Bonjour, je suis Nazouillette.

Je suis la joueuse casual dans toute sa splendeur: j'aime tout ce qui est mimi, trop mignon et trop chou, sans rester non plus hermétique aux autres jeux. Mon passe-temps: regarder les autres jouer. J'aime aussi le graphisme et a mes heures perdues je crayonne quelques trucs. Bon jeu !

6 décembre 2012

Test Starcraft 2 : Wings of liberty

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Dans les années 90 j’avais déjà planifié ma vie pour l’année 2010 : 3 chiens, un harem de femme à mon service et surtout un monde conquis à l’aide d’une armée de bestiole génétiquement modifié. Quand Starcraft est sorti en mars 1998, je me suis donc empressé de l’acheter afin de travailler mon plan de carrière via la campagne des Zergs. J’ai passé de longue journée sur ce jeu grâce à son histoire fantastique, ces cinématiques somptueuse et son gameplay jouissif.  En 2010 sortait sa suite Starcraft2 : Wings of liberty et c’est tout naturellement que j’ai sorti le portefeuille pour le petit frère d’un de mes jeux cultes.

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Me voilà donc propulsé dans la peau d’un Commandant Terrans au service de ce bon vieux Jim Raynor presque méconnaissable. Mode des héros oblige : Exit la calvitie et la moustache façon village people et bienvenue au style cheveux en bataille et barbe drue façon dur à cuire. Nous suivrons également les pérégrinations de Tychus, un vieux copain criminel de Jim, fraichement libéré de prison et encore plus bad boy que son pote. D’ailleurs la cinématique d’intro nous informe directement sur son rôle : assassiner un ennemi de l’empereur. On a fait mieux comme suspense, sachant que ceux-ci se compte sur les doigts d’une main à la fin de Starcraft : Broodwar.

On se retrouve donc à contrôler la race des Terrans (seul race jouable à 2-3 exception prêt) dans une série de mission fichtrement bien amené. Fini la campagne linéaire et fini les simples briefings de mission balançant directement le joueur sur le champ de bataille comme dans le premier opus. Ici Raynor évolue dans un croiseur de bataille où le joueur est libre de choisir les technologies à rechercher, de tapper la discute ou non avec les membres d’équipage, d’acquérir les technologies et armements qu’il souhaite et d’effectuer ses missions dans l’ordre qu’il veut. Cerise sur le gâteau : A la fin de chaque arc scénaristique le joueur à un choix moral à faire concernant l’action qu’il veut effectuer.

On suit notamment un petit groupe de Terrans se faisant infecter par un virus Zerg. Les Protoss passant par là, constate l’infection et propose d’engager Jim pour détruire la colonie. Jim peut alors retarder les Protoss afin de fabriquer un antibiotique ou aider à la destruction de la colonie. Comme les antibiotiques c’est pas automatique, il est naturel de choisir l’éradication de l’espèce humaine sur la planète. Mais il est agréable que Blizzard nous ai laissé le choix même si celui-ci est évident. En définitive ces différents choix et dialogues font que chaque Jim Raynor a sa propre histoire et ses propres unités donnant au jeu un petit coté RPG des plus agréables.

 Coté gameplay peu de chose ont changé par rapport à Starcraft premier du nom. Nous retrouvons globalement les mêmes unités et les mêmes mécanismes. Assez amélioré pour rendre l’expérience de jeu plus agréable et assez semblable afin de retrouver tout de suite nos marques. De nouvelles unités ont d’ailleurs fait leurs apparitions permettant de renouveler agréablement la licence.

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Sur le papier le jeu est parfait et c’est avec une certaine impatience que je voulais suivre le destin tragique de tous les héros que j’ai suivi dans le précédent opus. Il n’y avait pas de bonne fin de Starcraft 1. Tous les héros finissaient par perdre ce qu’il avait tant voulu à cause de leurs ambitions et des machinations de la reine des lames. Nous étions surpris quand nous apprenions que l’homme que l’on venait d’abattre n’était pas un ennemi mais un allié combattant comme nous les machinations de la reine des lames. La seule chose qui nous faisait avancer était soif de vengeance qui nous animait après avoir vu tous ces héros mourir sans avoir réussi à accomplir ce pour quoi ils étaient venus. Enchainer les victoires sur le champ de bataille dans Starcraft 1 n’était pas synonyme de fin heureuse.

 J’ai donc commencé à suivre le glorieux destin de Raynor et de sa joyeuse bande. Enchainant les succès sur le champ de bataille et les dénouements heureux. Bizarrement ces victoires me laissèrent de glace. Et plus j’avançais plus ce  retrait se transformait en dégout. Ces victoires étaient trop faciles. Elle ne demandait aucun sacrifice de la part des héros. Ils volaient vers la victoire totale sans se heurter à la moindre résistance. Blizzard avait toujours su, jusqu’à maintenant, faire de ses héros des martyrs et de leurs victoires des tragédies. Dans Diablo c’était le rodeur luttant et succombant  face au mal qui l’habite et qu’il avait vaincu autrefois. Dans Warcraft c’était Arthas, qui finit par servir les puissances qu’il avait juré de détruire. Dans Starcraft c’était Dugalle, qui amena à la chute de son armée en faisant confiance à son ennemi plutôt qu’à son ami.

Dans Starcraft 2 les méchants perdent et les gentils gagnent c’est aussi simple que cela. Pire : les différents choix que l’on nous propose dans le scénario n’amène qu’à deux bonnes fins. Dans le cas du virus Zerg de l’exemple précédent, soit nous choisissions d’aider les Protoss et le scénario nous indiquait que nous avions fait le bon choix car le virus était incurable et la colonie perdue, ou nous choisissions d’aider les colons et le scénario nous indiquait que la population était guéri et la colonie sauvée. Ainsi il n’y a pas de mauvais choix, pas de morts inutiles, que des bonnes actions que des victoires.

C’est tout le problème avec Starcraft 2, on nous abreuve tellement de victoires que çà en devient indigeste. On nous raconte que certain personnage clairement mauvais du premier Starcraft sont en fait des gentils manipulés à l’insu de leurs plein gré. On nous raconte qu’heureusement une prophétie est là pour nous révéler qui est le grand méchant de l’histoire et la manière de le détruire. Attention je ne dis pas que l’histoire est mauvaise, elle aurait même été agréable dans n’importe quel autre jeu. Malheureusement nous parlons ici de Blizzard et de la suite de Starcraft. Même le gameplay est fait pour que vous n’échouiez pas. En effet au début de chaque mission on vous donne les plans de l’unité qu’il vous faut pour gagner la partie. Pas besoin de réfléchir, pas d’échec si vous suivez les clous. 

En définitive Starcraft 2 : Wings of liberty aurait été un excellent jeu s’il n’avait pas derrière lui l’héritage de son ancêtre. C’est un peu cette même impression que j’ai ressenti en voyant Starwars : épisode 1 ou en voyant Indiana Jones et le crane de Cristal (Notez ce moment car je n’admettrais plus jamais l’existence de ce film). Starcraft 2 c’est une superbe réalisation avec un scénario dans les normes, prémâché et hollywoodien là où il aurait pu être simplement parfait comme son ainé en son temps. Quel Gâchis.

7/10

 

Père Castor

 

Pour aller plus loin :

Les superbes vidéos d’introduction et de fin de Broodwar nous prenant au tripe même si on n’a jamais fait le jeu.

http://www.youtube.com/watch?v=CafEZqFSk_Y

http://www.youtube.com/watch?v=1UO5mi5GAIY

 

Un lien vers un mod permettant de jouer à la campagne de starcraft 1 sur le moteur du 2. Que demande le peuple ?

http://www.teamliquid.net/forum/viewmessage.php?topic_id=303166

6 décembre 2012

Test Starcraft 2 : Wings of liberty

Starcraft 2 ! Mon jeu le plus attendu depuis le Legend of Zelda, Ocarina of Time sur Nintendo 64, que j’avais réservé et était passé chercher après mon dernier cours (en 3e à l’époque), un vendredi soir de décembre … Bref j’attendais beaucoup Starcraft 2 et j’avais commandé la version collector, que j’ai dû aller chercher pendant ma pause déjeuner à la poste afin d’y jouer le plus rapidement possible le soir après le travail. Starcraft 2 : Wings of liberty est la 1e extension de Starcraft 2 et se concentrera principalement sur la campagne Terran.

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Pour résumer, Starcraft 2 est sorti plus de 10 ans après son prédécesseur. Le principe reste toujours le même, c’est un jeu de stratégie en temps réel futuriste où s’affronte 3 races : les Terrans, équivalent des humains ; les Protoss, race extra terrestre très évolué ; et les Zerg, qui sont des créatures bien hideuses ressemblant à un mix entre des Alien et des insectes.

Après l’installation (un poil longue), j’ai entamé la campagne solo enchaînant quelques missions avant de tester le multijoueur. Le solo reprend l’histoire après la l’extension de Starcraft : Brood War. De mon coté, j’ai trouvé l’histoire plutôt sympa, ce n’est pas un scénario fantastique mais il tient largement la route et est entrecoupé de superbes cinématiques que Blizzard maîtrise parfaitement. Les missions sont variées, le jeu solo est assez long et on peut customiser nos armées entre les missions, ce qui augmente l’immersion du joueur et permet de choisir les unités et les compétences que l’on préfère pour la suite de l’aventure.

Suite à cette petite cession solo (enfin quelques missions, le jeu solo est relativement long), je me suis lancé sur le véritable intérêt de Starcraft 2 : Le multijoueur! C’est là-dessus que repose le réel point fort du jeu en proposant un jeu de stratégie entre 3 races équilibrées et une multitude de techniques différentes. Il y en a pour tous les goûts, du 1v1 au 4v4, avec classement en ligue, afin d’essayer de rencontrer des joueurs du même niveau. Il y a également des parties plus personnalisées et un éditeur de cartes qui permet de créer des jeux vraiment différents et beaucoup plus fun que le STR d’origine.

Bon maintenant que la présentation est faite, parlons du JEU !!! Et de pourquoi il est fantastique !!! Tout d’abord on a Sarah Kerrigan, un des personnages les plus cool du jeu vidéo. Que ce soit sous la forme zerg de la reine des lames, ou du ghost humain aux pouvoirs psychiques, elle déchire. Les autres personnages sont « gentillés » mais Kerrigan les efface tous, ce qui explique qu’elle reste la ligne de mire de cet épisode et sera l’héroïne de la prochaine extension, bien que le personnage principal que l’on va suivre tout au long cette campagne soit James Raynor. Pour les fans de Tassadar ou de Zeratul, les deux grands héros protoss que je n’ai pas cité, je dirai juste … boooo les loosers, les protoss c’est rien que des mauvais tout nuls (oui, cette insulte est totalement gratuite). Bon je suis un joueur zerg, j’adore leurs unités et leurs manières de jouer. Les unités sont bien immondes, surtout si on zoom sur leurs petites animations et quand on les contrôle bien, on a vraiment l’impression de voir le swarm (l’essaim zerg) se répandre sur toute la carte. A l’inverse les protoss font juste des grosses unités qui se groupent et se la racontent un max parce qu’ils font plein de dégâts na na na … (mais non je vous dis, j’ai rien contre les protoss …). Enfin les terrans ont un style plus classique avec l’utilisation de bases et de baraquements futuristes, et ils peuvent relativement s’adapter à tous les styles de gameplay, du rush éclair à la défense tortue en passant par le multi front, cette race, quand elle est bien jouée, est increvable.           

Les graphismes et la fluidité du jeu, avec un pc correct, sont très réussis. On peut observer le détail des unités et des cartes lors des parties ou des replays. Bien qu’en nombres réduits, les animations sont sympathiques. Concernant la fluidité, et après avoir été habitué à Starcraft 1, celle-ci est vraiment appréciable. Pour test, je vous conseille de faire une armée composée de quasiment 400 zergling avec l’augmentation de vitesse, qui attaquent une base Terran (sans wall). On peut les voir se serrer pour avancer dans les passages étroits avant de se ruer sur les bâtiments adverses, le tout avec un rendu très naturel (enfin si on considère courant une attaque d’aliens sur une planète éloignée).  

Le multijoueur de Starcraft avait déjà eu un énorme succès, notamment grâce aux mises à jour régulières du jeu par Blizzard mais également la tournure officiel des matchs et des tournois qui se sont déroulés, principalement en Corée du Sud avec des joueurs professionnels. Avec Starcraft 2, tout ce système a été amplifié grâce au classement par ligue des joueurs et aux replays facilement accessibles après n’importe quel match. C’est avec ce jeu que s’est développé la mode de l’e-sport en France, (bien qu’il ne soit pas le 1er jeu à être commenté) et des commentateurs de parties pro comme Pomf et Thud ont réussi a remplir la salle du grand rex pour assister à des finales de Starcraft 2.

Evidemment, l’impact de cet engouement général pour les joueurs pro et leurs techniques que l’on peut découvrir à travers le net ont énormément augmenté la difficulté du jeu pour les petits amateurs du dimanche. Même dans les ligues les plus basses, le niveau est assez élevé, et ce genre de jeu ne permet pas de gagner par chance, il faudra connaître un minimum et les unités et les petites astuces afin de ne pas perdre au 1er assaut adverse. Il faut ajouter à cela un stress très présent, surtout lors des parties 1v1 et le syndrome du « mon partenaire c’est un noob c’est à cause de lui que j’ai perdu » (Kévin, troll level 12 dans la vie)  pour les parties avec plus de joueurs. Néanmoins, le jeu est très addictif et on veut progresser ou essayer des nouvelles techniques qui vont révolutionner le jeu ! (Mais en fait non …on se fait démonter). Puis à force de jeu, on se rend compte de la progression qui est faite et on prend de plus en plus de plaisir à jouer, que ce soit en gagnant ou en perdant, et on comprend toute l’importance du GG (good game) lancé en fin de partie.

Pour les moins acharnés ou tout simplement ceux qui n’aiment pas le multijoueur classique Starcraft, il y a aussi les parties personnalisées. Et là, on peut créer ou trouver plein de modes différents qui augmentent énormément la durée de vie du jeu. Grâce à de très bon moddeurs, on a accès à des jeux différents, mis à jour régulièrement qui peuvent totalement remplacer le jeu original tout en conservant son univers.

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Pour conclure je dirais que Starcraft 2 est un des meilleurs jeux actuellement sur le marché, et une référence dans sa catégorie. Avec sa grande durée de vie et son côté technique très performent, il est un indispensable.

 

Note objective : 8/10

Note personnelle : 10/10

 

Buc Lesson

4 décembre 2012

BUC LESSON

Hello, je suis Buc Lesson, membre officiel des gros nazes!

 

Passionné de jeux vidéo, j’alterne équitablement l’utilisation de mes écrans entre les jeux vidéo, les séries télé et les films. Dans le groupe, je suis celui qui va s’intéresser principalement au gameplay et l’aspect spectaculaire des jeux. Je suis assez bon public, j’essai différents jeux sur différents supports, ce qui m’oblige à jouer en difficulté normale ou facile (par manque de temps évidemment, pas parce que je suis un gros naze tout mauvais …). Tout naïf et tout gentil, je suis victime des procédures commerciales qui me font adorer les titres triples A sans penser à l’envers du décors.

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